|
|
Test de Bully Scholarship Edition : Editeur : Rockstar Game
Dans
ce jeu, on incarne une petite teigne connue sous le nom de Jimmy
Hopkins. "Abandonné" par sa mère et son beau père dans l'université de
Bullsworth Academy, il va tenter de se faire un nom et une place au
milieu des communautés types de nos voisins américains : les Fayots,
les Sportifs, les Blousons Noirs, les Bourges et les Caïds. Et ce n'est
pas forcèment chose facile puisque pour y arriver, Jimmy devra réaliser
des missions en tout genres pour prendre petit à petit le contrôle de
cette bande de jeunes insolents. Pour cela, il devra visiter une map
divisée en 2 : le complexe universitaire en lui même, et la ville de
Bullsworth. Croyez moi, il a du chemin à faire ce petit. Mais
heureusement pour nous, divers moyens de locomotions sont disponibles
comme le skate-board, les vélos ou même un scooter (casque obligatoire
sous peine de se faire poursuivre par nos amis de la police locale),
mais Jimmy pourra aussi utiliser le bus scolaire, qui vous raménera
directement devant Bullsworth Academy.
Canis Canem Edit
"L'homme
est un loup pour l'homme". Cet addage va se vérifier au fur et à mesure
de votre progression dans le jeu puisque notre ami Jimmy va devoir
affronter tour à tour chaque communauté pour en prendre le contrôle. Et
une personne va tenter de faire échouer tout ca : Gary. C'est un
traître, puisqu'il aidait au départ Jimmy avant de l'envoyer se battre
contre la grosse brute du coin. Mais il n'y a pas que lui qui vous
voudra du mal, puisque les diverses formes d'autorités (polices,
surveillants, professeurs, adultes...) seront la pour tenter de vous
rattraper si jamais vous faites quelque chose qui dépasse les limites
(ou si vous séchez les cours). Il ne faut pas oublier non plus vos
chers petits camarades, puisqu'a chaque chapitre, les personnes dont
vous tenter de prendre le contrôle viendront chercher l'embrouille à
chacun de vos passages dans leur champs de visions, mais le combat
n'est pas obligatoire et un sprint règle très souvent le problème. "Sortez vos cahiers...
,
nous allons reprendre la leçon". Et oui ! Jimmy devra aussi assister au
cours (quand vous en aurez envie bien sur) ! Ceux-ci ont lieu de 9h à
11h30 et de 13h à 15h30. Mais même si cela va vous permettre de
débloquer certaines options, il est plus intéressant de ne pas y aller
pour effectuer les missions demandées qu'autre chose. En effet, les
cours se déroulent sous forme de mini-jeux tous plus intéressant (c'est
ironique) les uns que les autres : par exemple, il vous sera demander
de suivre le rythme en cours de musique, ou d'effectuer une combinaison
de touche pendant le cours de physique (ma préférence reste les
dissections du cours de biologie). Mais jouer les élèves modèles ne
rapporte pas réellement grand chose, sauf lorsque vous perdez à un des
mini-jeux, ils ne vous restera plus qu'a le recommencer au cours
suivant, ce qui est un petit plus. Prenez donc garde à faire l'école
buissonière, puisque les surveillants et la police locale (qui est
bizarrement au courant de vos horaires de cours) n'hésiteront pas à
vous courir après pour vous ramener en classe pour faute d'absentéisme. Un Gameplay à la GTA
Rockstar
nous livre ici un jeu dans le pur esprit GTA, mais en moins gore et en
moins violent. En effet, ici il n'y a pas de morts, pas de sangs et les
armes fournies ne servent qu'a assomer votre adversaire, et non à le
tuer. Côté déplacement, quasiment toutes vos actions se feront avec le
clavier, la souris étant relativement peu utilisée (la caméra se règle
toute seule, et heureusement, comme il faut). Niveaux libertés
d'actions, vous êtes servis puisque Jimmy à un panel d'interaction avec
la population du jeu relativement enrichi (le tirage de caleçon étant à
l'ordre du jour) et qui vous permettra de vous amuser si jamais (chose
que je n'éspère pas) vous vous ennuyez. Revenons aux armes : un
lance-pierre, un lance-patates, des pétards, des bombes de peintures...
Pas très violent tout ca, mais plutôt utile dans un jeu qui se veut
respecter le côté scolaire de la chose. Heureusement d'ailleurs, car
des armes réelles et des morts n'auraient fait que plonger dans le
chaos le plus total (imaginez de belles pom-pom girls tirer sur leur
prof d'anglais ?!).
Côtés bugs ?
J'ai
eu relativement de chance puisque je n'ai jamais eu de bug dans ce jeu
! Tout s'est très bien passé et j'ai pu finir le jeu comme si je le
connaissais par coeur. Pas un pixel de travers, pas un reboot
intempestif, pas un seul décalage son/images... Mais cela peu varié, et
je me base sur mon expérience personnelle. Mais je ne pense pas que
Bully se révélera être un jeu avec des bugs très méchants. Pour finir...
Bully
: Scholarship Edition est donc un jeu très sympa, plutôt bien côté
graphismes et très réussi qui respecte le côté lycée tant au niveau de
l'IA qu'au niveau de l'environnement. C'est donc un genre de GTA pour
adolescents, qui à de grandes chances de réussir dans la vie. C'est
donc avec un bulletin scolaire positif que Jimmy Hopkins réussit à nous
entrainer dans le jeu ;-)
Testé par : Khrysos Configuration de test : AMD simple Coeur 3600
Temps de test :
Notation : Graphismes : 16/20 Copyright (c) 2008 Virtual Connor. All rights reserved. |